A
Abandonnique : Se dit d'un adulte ou d'un enfant qui souffre d'abandonnisme ou d'une personne qui présente des troubles d'ordre dépressif liés à un abandon réel. Ces personnes vivent avec un sentiment permanent d'insécurité. Les sujets, en retour peuvent réagir par l'agressivité, alors que certains peuvent se montrer exagérément aimants et dépendantes.
Psychanalyse : L'abandonnique interprète l'attitude de la mère ou de la personne qui s'y substitue comme un refus d'amour. Son conflit se situe en deçà de l'Oedipe.
Abandonnisme : Sentiment et état d'insécurité permanente du point de vue psycho-affectif. Il est lié à la crainte d'être abandonné par ses parents ou les personnes qui lui sont chers. Ce sentiment est sans rapport avec une situation réelle d'abandon, mais découlerait cependant à des épisodes répétés anciens dans l'histoire du patient, de rejet à son encontre. Tous les enfants orphelins ne souffrent pas de ce sentiment. Une interaction parentale pathogène précoce ou une prédisposition pourrait faire du sujet un être hypersensible, anxieux, fragile sur le plan émotionnel et réagissant de ce fait mal à toute frustration.
Il y a souvent chez ces personnes :
- Une souffrance de déréliction
- Un repli sur soi
- Une autodévalorisation
- Des tendances à régresser à l'infantile
- Un comportement réactionnaire agressif
Psychanalyse : névrose d'abandon (C. Odie ret G. Guex) L'enfant développerait une avidité affective insatiable combiné à une angoisse d'angoisse, d'agressivité réactionnelle, de non-valorisation de soi et de mentalité de catastrophe avec risque de passages à l'acte suicidaire.
Aboulie : Impuissance de la volonté entraînant indécision et impuissance à agir. Trouble fréquent chez les psychasthènes et les obsessionnels.
Abréaction : Diminution ou disparition de la volonté.
Acalculie : Aphasie caractérisée par l'incapacité à reconnaître ou former des chiffres et symboles arithmétiques ainsi qu'à effectuer des calculs élémentaires.
Accomodation : Activité mentale de l'enfant déformant un schéma initial pour s'adapter à une situation nouvelle (J. Piaget)
Acédie : Dépression manifestée par un dégoût de vivre, une indifférence affective, inhibition, une torpeur.
Acrophobie : Peur irraisonnée de la hauteur
Addiction : Relation de dépendance aliénante assuétante (aux médicaments, toxicomanie, alcoolémie, etc; ou à une activité).
Adhésivité : Tendance de certains patients (plus particulièrement chez les épileptiques) à s'attacher à une personne, à une pensée, ou à un objet.
Adrénoleucodystrophie : Démence dégénérative infante-juvénile d'origine génétique (lié au chromosome ) frappant 1 garçon sur 15000. Elle est caractérisée par l'atteinte de la myéline et se manifeste par une accumulation d'acide gras saturés à très longue chaîne. La forme enfantine se manifeste entre 5 et 12 ans par une atteinte encéphalique avec détérioration intellectuelle, paralysie, cécité et surdité. Il existe également des formes asymptomatiques.
Affect : Terme général regroupant les nuances de plaisir, de la douleur, du désir.
Age Mental : Niveau de développement intellectuel, déterminé par des résultats aux tests d'intelligence, étalonnés selon des âges différents.
Agnosie : Incapacité à identifier certains objets et formes. Il peut exister des agnosies tactiles, visuelles, auditives. (lésion corticale sans atteinte sensorielle)
Agoraphobie : Peur immotivée se traduisant par l'appréhension et parfois l'impossibilité de traverser des lieux ou de se trouver dans un espace découvert, de se retrouver dans des lieux publics, d'être dans une foule, ou un transport dont on ne pourrait s'échapper. Elle est accompagnée d'angoisses dont l'intensité peut mener le sujet à rester confiné chez lui.
Elle débute rarement avant l'âge de 20 ans et semble plus fréquente chez les femmes.
Agrammatisme : Perte de la capacité de construire correctement une phrase avec mésusage ou disparition des marques syntaxiques.
Agraphie : Altération grave de l'écriture (hors atteinte motrice)
Agueusie : Diminution ou disparition complète du sens gustatif (altération du nerf facial notamment)
Akathisie : Impossibilité de rester assis. Peut être dû à un problème organique, médicamenteux, ou psychogène. Fonctionne souvent avec la tasikinésie.
Akinésie : Rareté du geste, difficulté de la mise en route, perte du balancement du bras au cours de la marche que l'on retrouve chez les personnes atteintes de Parkinson.
Algolagnie : Érotisation de la douleur.
Alexie : Forme d'agnosie visuelle caractérisée par la perte de la capacité à lire alors que l'intelligence et la fonction visuelle sont conservées.
Alexithymie : Incapacité à pouvoir exprimer ses émotions avec une vie fantasmatique pauvre et une activité de pensée et de discours orientés principalement vers des préoccupations concrètes. C'est uniquement au travers de plaintes somatiques que ces patients peuvent laisser apparaître leur état émotionnel.
Aliénation mentale : Trouble grave et prolongé de l'activité psychique, proche de la folie et de la maladie mentale. Perte du contact normal à la réalité et avec autrui ainsi qu'une profonde atteinte de la liberté morale.
Alogie : Pauvreté du discours, des idées ou des émotions.
Alzheimer (maladie d') : Démence présénile décrite par Aloïs Alzheimer en 1906, qui débute vers 55 ans et se caractérise par une détérioration intellectuelle progressive et globale. Elle serait produite par une atrophie cérébrale diffuse (chromatolyse totale des cellules nerveuses et la fréquence de plaques argyrophiles, dites séniles).
Le début est lent, insidieux. Il est marqué par un déficit mnésique global s'aggravant par une désorientation spatiale intense. L'activité psychomotrice se ralentie avec une apathie qui s'installe émaillée parfois de colères et d'anxiété. Dans certains cas, une dépression chronique ouvre le tableau.
Au fil du temps, un syndrome aphaso-apraxo-agnosique s'installe pour devenir permanent.
Des recherches font penser qu'il pourrait y avoir à l'origine, pour certaines formes, une origine bactérienne buccale ou œsophagique. Pour d'autres, une origine génétique, troubles métaboliques, vieillissement de la population, facteurs congénitaux peuvent être à l'origine de la maladie.
Ambivalence : Antagonisme de deux sentiments, expressions ou actes. Elle s'observe souvent dans la Schizophrénie.
Amimie : Perte plus ou moins complète des gestes, des mimiques, de leur exécution et compréhension.
Amnésie : Perte de la mémoire qui se définie par l'impossibilité de se rappeler des expériences passées lors de moments d'évocation. Atteinte des fonctions cognitives, résultant de lésions cérébrales ou d'un trouble affectif (conflits psychiques).
il en existe plusieurs formes :
- Amnésie partielle élective : de type psychogène (refoulement de certains conflits sexuels fréquente chez les hystériques)
- Amnésie lacunaire : bouffées délirantes et confusionnelles, crises, laissant une lacune dans l'histoire du sujet.
- Amnésie post-traumatique : qui survient après un traumatisme crânien notamment, arrêtant l'évocation de la période précédant immédiatement l'accident.
- Amnésie totale : Évolutives et extensives de deux types (rétrograde : impossibilité d'évoquer tout ou une partie d'un passé correctement organisé), (antérograde : impossibilité de fixer de nouveau souvenirs).
- Amnésie antérograde (ou de fixation) : Oubli au fur et à mesure.
- Amnésie antéro-rétrograde : Amnésie des faits récents et anciens
- Amnésie rétrograde : Amnésie des faits antérieurs au début des troubles.
Amok : État d'exaltation émotionnelle avec tendances d'impulsions à l'homicide et à la course sauvage. Il est souvent suivit d'une amnésie lacunaire. Le passage à l'acte de meurtre est fréquent au cours d'une crise de "fureur sanguinaire".
Amusie : Agnosie auditive qui se caractérise par l'impossibilité d'identifier des sons mélodiques et timbres musicaux. (lésion des aires associatives). Impossibilité également de chanter ou de fredonner un air.
Anaclitique : qui dépend de quelqu'un, qui se repose sur quelqu'un. Est au cœur même de la structure des États-Limites.
Anal (stade) : période de la vie de l'enfant (2 à 4 ans) qui est marquée par l'apparition d'un contrôle du sphincter des excréments. La zone anale devient une zone érogène (plaisir à retenir et à expulser) et à contrôler ou pas ses excréments par l'enfant.
Anamnèse : C'est un retour en arrière, une récapitulation des souvenirs du passé du malade et de sa maladie à travers la parole du patient mais aussi de son entourage. L'anamnèse peut mettre en évidence l'origine, la cause des troubles morbides.
Anancastique : État dans lequel la personne se sent forcé de penser, d'agir ou de sentir contre son gré. Ce sentiment se retrouve chez les patients souffrant de compulsion, d'obsession, et de phobie.
Anarthrie : Aphasie motrice sous-corticale qui se caractérise par une atteinte de l'articulation de la parole sans lésion des organes de la phonation. Le patient est incapable de prononcer les mots alors qu'il les comprend, les lit et les écrit parfaitement.
Angoisse : Sensation interne caractérisée par un sentiment d'oppression et de resserrement caractérisée par la crainte réelle ou imaginaire d'un malheur ou d'une souffrance où la personne se sent démunie et totalement impuissant à se défendre.
L'angoisse s'accompagne de :
- manifestations somatiques
- constriction oesophagienne
- précordialgies
- dyspnée
- tachycardie
- tremblements
- hypersudation
- spasmes intestinaux
Anorexie mentale : Trouble de la conduite alimentaire caractérisé par un refus plus ou moins systématisé de s'alimenter et intervenant comme réponse à des conflits psychiques. Elle survient le plus souvent chez les adolescentes qui présente une aménorrhée, une hyperactivité associées à des changements de caractère ainsi que des troubles de la perception du corps. Des symptômes peuvent évoluer avec l'anorexie :
- phobies
- obsessions
- accès de dépersonnalisation
- états dépressifs
- troubles des conduites (toxicomanie, alcoolémie...)
Toutes les études parlent de la problématique de l'identité au cœur de l'anorexie. Jeammet attire l'attention sur l'importance du conflit autonomie-dépendance.
Animisme : Croyance qui fait que le sujet pense que toute chose est animée et à une intention. Cette croyance se rencontre beaucoup dans les sociétés dites "primitives" ou "ancestrales".
Annulation : mécanisme psychologiste par lequel le sujet fait en sorte que ses pensées, actes et paroles passés ne soient pas arrivés. A cet effet, il met en place une idéation ou un comportement de sens opposé. Ce mécanisme est typique de la névrose obsessionnelle.
Anosmie : Incapacité de sentir les odeurs et donc de les reconnaître. Perte de l'odorat.
Anosodiaphorie : Indifférence du malade face à sa maladie.
Anosognosie : Négation ou inconscience par le patient de sa maladie
Anxiété : État émotionnel de tension nerveuse, de peur mal différenciée cognitivement. Peurs intenses , répétitives, chroniques et pouvant venir répétitive.
Il existe l'anxiété-trait : caractéristique individuelle qui se manifeste de deux façons (la prédisposition à éprouver des états de peur en présence de stimulus qui pour d'autres, seraient moins ou pas du tout anxiogènes) ; l'anxiété pathologique (anxiété qui va prendre un caractère durable pouvant inhiber l'action du sujet ou l'inciter à éviter des situations).
L'anxiété peut se caractériser par :
- tension musculaire
- inhibition motrice
- palpitation
- tachycardie
- sensation de vertige
- bouffée de chaleur ou de froid
- accès de rougeur ou du pâleur
- sécheresse de la bouche
- nausée
- boule dans la gorge
- besoin fréquent d'uriner
- gêne au creux de l'estomac
Anxiogène : ce qui favorise l'apparition de l'anxiété ou de l'angoisse
Aphasie : Troubles du langage consécutifs à une atteinte cérébrale (plus souvent corticale que sous-corticale et hémisphère gauche que droit)
Il y a plusieurs formes d'aphasie :
- aphasie fluente (rapide) ou non fluente (ralenti)
Appareil psychique : Selon Freud, cela désigne le modèle figuratif par lequel on peut comprendre qu'une énergie se transmet, se transforme et se différencie suivant les instances (Ca, Moi, Surmoi, Moi idéal, Idéal du moi)
Apragmatisme : Incapacité d'origine psychique de maintenir une activité et/ou un comportement bien adaptés à son environnement, aux besoins et conduites de vie. Peut amener la personne à la désinsertion sociale et professionnelle progressive menant à la clochardisation (par exemple chez le schizophrène) ; Aboulie d’exécution pouvant conduire le psychastène a être incapable de choisir entre deux types d'action, deux attitudes contradictoires, eux objets différents. Dans les deux cas, il s'agit d'un trouble grave de contact à la réalité, s'accompagnant de sentiments de déréalisation et de dépersonnalisation.
Apraxie : Trouble de l'activité gestuelle apparaissant chez quelqu'un dont les organes d’exécution (main, pied, jambe, etc) sont intacts et qui possède la pleine conscience de l'acte à accomplir. L'apraxie est due à des lésions cérébrales multiples.
Il en existe plusieurs formes :
- Apraxie idéomotrice : généralement bilatérale se manifestant dans des gestes sans utilisation d'objet (salut militaire, par exemple).
- Apraxie idéatoire : trouble des gestes complexes nécessitant un enchaînement harmonieux (alors que les gestes simples restent possibles)
- Apraxie motrice : le trouble atteint la réalisation de formes concrétisées dans l'espace (impossibilité de dessiner une figure, par exemple)
- Apraxie de l'habillage : les gestes pour s'habiller et se déshabiller sont altérés
- Apraxie bucco-linguo-faciale : concerne la gestuelle orale et faciale.
selon les cas, les apraxies sont uni ou bilatérales.
Aprosexie : Impossibilité de soutenir l'attention, survenant quand la vigilance est atteinte par la fatigue ou une affection organique, soit dans une confusion mentale, les états crépusculaires, les confusions mentales, certaines phases de psychose, d'hystérie, psychasténie, ou d'accès anxieux paroxystiques.
Aprosodie : Monotonie de la parole
Apsychognosie : État psychopathologique d'apparition lente chez certaines personnes présentant une forme clinique alcoolique, en raison d'un alcoolisme permanent pathologique évoluant sur plusieurs années. Le sens critique de la personne envers soi et les autres est appauvrie tout comme ses capacités de jugement, de vigilance.
Archétype : Terme qui regroupe ce qui est véhiculé par les contes, les mythes communs à l'humanité, les légendes, l'art, et la religion, selon C.C. Jung (1919). Cet ensemble est appelé "inconscient collectif"
Arithmomanie : Compulsion irrépressible à faire diverses opérations d'arithmétique ou d’exécuter un certain nombre de fois, toujours le même, les actes les plus divers.
Arriération affective (syndrome d') : ou dite dépression anaclitique. Retard psycho-moteur provoqué chez les enfants par la privation de soins maternels.
Arriération mentale : Insuffisance des facultés intellectuelles, d'origine congénitale et/ou acquise.
Asomatognosie : Perte de la conscience d'une partie ou de la totalité du corps.
Assuétude : Dépendance psychique du toxicomane envers son toxique, qui le pousse à rechercher celui-ci, à en répéter les prises à doses croissantes pour assurer son bien-être et apaiser son anxiété qu'il ressent à l'idée d'en être privé.
Astasie : Perte plus ou moins complète de la faculté de conserver la station verticale.
Astasobasophobie : Anxiété éprouvée en station debout ou pendant la marche, par certains malades atteints de troubles de l'équilibre.
Asthénie : Dépression de l'état général, entraînant à sa suite des insuffisances fonctionnelles multiples. Affaiblissement de la mémoire, difficulté à fixer l'attention , ralentissement conscient du travail intellectuel.
Asthénobiose : Phase temporaire d'activité réduite, ressemblant à l'hibernation ou à l'estivation, mais indépendante e la température ou de l'humidité.
Asthénomanie : Habitude morbide de l'asthénie.
Astraphobie : Crainte morbide des éclairs ou du tonnerre.
Asyllabie : variété d'aphasie sensorielle dans laquelle le malade atteint de cécité verbale peut reconnaître les lettres, mais est incapable de les rassembler pour constituer des syllabes.
Asymbolie : Nom générique de tous les troubles de l'utilisation des signes pour s'exprimer, soit pour comprendre les idées et les sentiments.
Asynergie : Perturbation dans la faculté d'association des mouvements élémentaires dans les actes complexes.
Ataxie : Incoordination des mouvements volontaires avec conservation de la force musculaire.
Ataxie aiguë : (maladie de Leyden) Syndrome frappant surtout les jeunes gens, débutant souvent par des convulsions et des syncopes, caractérisé par la coexistence d'ataxie, d'exagération des réflexes tendineux, de parésie de divers groupes musculaires.
Ataxie labyrinthique : Caractérisée par des troubles d'équilibre de la station sans mouvements isolés des membres.
Asymptomatique : qui manque de symptômes clinique.
Athymhormie : Absence de l'élan qui caractérise l'être, symptôme observé dans la démence précoce.
Athymie : Trouble de l'humeur caractérisé par une indifférence, une inactivité totales.
Atrémie : Forme héréditaire de neurasthénie caractérisée par un affaiblissement profond de l'énergie morale, sans asthénie musculaire qui peut aller jusqu'à l'impuissance motrice complète des membres inférieurs.
Audimutité : trouble consistant en une absence du langage parlé après l'âge de 6 ans sans qu'il y ait déficit intellectuel, déficit auditif, ou troubles psychotiques.
Aura : Sensation subjective passagère qui précède l'attaque d'hystérie, d'épilepsie, la crise d'asthme. Cette sensation est variable et peut âtre auditive, visuelle, olfactive, gustative, cutanée, ovarienne, abdominale, céphalique, ovarienne.
Autisme : État qui est à la base d'une reconstruction délirante du monde et de difficultés majeures de communication avec autrui. Il désigne certains états psychotiques de l'enfant. Chez les schizophrènes, on l'emploie pour désigner l'état d'hermétisme apparent.
Autolyse : Synonyme en médecine de "suicide"
Automatisme mental (syndrome d') : (syndrome de Clérambault) Observé au début des psychoses hallucinatoires chroniques, au cours duquel le sujet à l'impression que ses pensées sont répétées et que ses actions sont commentées de l'extérieur. Le sujet a des sensations de type parasite telles que : hallucinations psychosensorielles, hallucinations visuelles, cénesthésiques, tactiles et gustatives. Ce symptôme s'observe notamment dans la psychose hallucinatoire chronique.
Automutilation : mutilation de son propre corps par le sujet.
Autophilie : Opinion favorable qu'ont d'eux-mêmes un certain nombre de psychopathes et en particulier les persécutés.
Autotopoagnosie : Discordance de l'image corporelle avec l'espace, d'où pour le malade, perte de l'orientation sur son propre corps.
Avolition : Perte de la capacité de débuter ou de mener un certain nombre de tâches.
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