Sur le fil, la série

Le groupe interpelle un voyou pour une broutille et teste Forge sur le terrain. En échange de sa liberté, le truand arrêté leur donne un tuyau sur un vol orchestré par des manouches qui doit se dérouler le lendemain. En planque devant l'immeuble pour les prendre en flag, ils découvrent que le vol a dégénéré en meurtre. Dessaisis de l'affaire, le groupe décide de mener sa propre enquête. Dans l'affaire du pianiste, le groupe poursuit ses investigations. A chaque fois, le tueur est revenu sur place déguisé en policier afin de vérifier l'existence de témoins éventuels. Il apparaît qu'un témoin important, Gégé, un SDF, pourrait identifier le meurtrier, reste à le retrouver..

Le groupe cherche à identifier les auteurs du meurtre d'un travailleur social d'une cité chaude de banlieue. Forge percevant l'intérêt qu'il a d'être bien vu sur un tel dossier et profitant d'informations recueillies dans les plus hautes sphères du pouvoir, décide de prendre les choses en main et de précipiter les investigations. Les auteurs supposés sont interpellés, au prix d'un début d'émeutes largement médiatisées. L'enquête du pianiste se poursuit : leur seule piste, Gégé, disparaît lorsqu'on retrouve le SDF mort, son corps étant atrocement mutilé...

Lila interpelle sans ménagement un moniteur d'auto-école en pleine rue. Sa fille, Laurie, l'accuse d'attouchements. L'homme se défend au début de sa garde-à-vue, mais les témoignages contre lui sont accablants et Lila, particulièrement agressive. Alors que la petite se rétracte et avoue qu'elle a menti, l'homme très ébranlé, se plante une lame en plein cœur au moment de signer ses aveux... et se retrouve plongé dans le coma. L'affaire fait beaucoup de bruit en haut lieu et le groupe est menacé d'explosion. Pendant ce temps, ils apprennent qu'une jeune fille disparue est certainement aux mains du tueur en série appelé le Pianiste...

Alors que Munoz témoigne aux assises lors du procès d'un homme accusé d'avoir tué son épouse, un événement extérieur remet tout en cause : l'homme serait innocent. Le procès est par conséquent suspendu... Dès lors, Forge va tout faire pour démontrer que Munoz a bâclé son enquête afin de protéger le véritable coupable qui n'est autre qu'un policier. Munoz quant à lui, n'accepte pas la remise en cause de son travail et de sa probité, et reprend son enquête pour sauver son honneur. Quant au Pianiste, Forge est de plus en plus persuadé qu'il s'agit d'un policier ou d'un magistrat. Et alors que Fossati obtient un portrait robot grâce à un témoin, Forge décide de vérifier l'ADN de tous ceux qui ont eu accès au dossier...

Munoz et Dupré ont l'opportunité d'interpeller un dealer de coke grâce au tuyau donné par un indic. Ils ont monté un coup qui doit se dérouler tout en douceur. Mais le scénario se grippe et la transaction dégénère. L'un des hommes du groupe se retrouve embarqué... Leroux, pris pour le Pianiste, se voit interrogé sans ménagement par Fossati et Forge. Alors que les preuves contre Leroux s'évanouissent, une vidéo montrant une femme disparue, mais encore vivante, parvient au groupe. Le compte à rebours est enclenché pour tenter de retrouver la jeune femme vivante...

Antoine, en bossant sur des écoutes dans un salon de massages, tombe sur un meurtre presque en direct ! Visiblement une petite séance de "massage" a mal tourné et une fille en est morte. Le problème c'est que le cadavre a été enlevé et le lieu du crime nettoyé. En croisant les appels téléphoniques révélés par l'écoute et les statuts des sociétés propriétaires du salon, Antoine aboutit à une holding dont le gérant est Méreuil, un meurtrier qui a déjà échappé au groupe une première fois...

La petite nouvelle, Céline, n'est pas venue travailler au service et personne n'a de nouvelle. Le groupe ne s'en inquiète pas vraiment, mais un message du "Pianiste", le tueur en série qui les met en échec depuis des années, arrive. Il leur demande de se rendre chez un ancien collègue à eux, Robin, handicapé aujourd'hui. Le groupe ne trouve pas Robin chez lui, mais en revanche le cadavre de Céline les attend dans son salon... elle a été étranglée selon le mode opératoire du tueur en série...

Le groupe est sous le choc. La mort de Céline, leur collègue, le suicide de Robin, le "Pianiste" déclaré irresponsable... Tout ça a un sale goût d'échec... Tous considèrent qu'ils ont une part de responsabilité. Lucie a même fait appel à la cellule de soutien psychologique de la préfecture. Pendant ce temps, le fils de Munoz, William, s'est échappé de chez lui pour rejoindre des potes. Mais c'est un piège et deux tireurs sur un scooter mitraillent William et ses copains. Seul William s'en sort et s'enfuit. Mais un témoin l'a vu et peut le reconnaître. Pour Munoz, il s'agit de mener une enquête parallèle pour découvrir qui a voulu tuer son fils et tenir William hors de cette affaire qui le ferait repartir en prison illico...

La Crime enquête sur l'enlèvement de William Munoz. Philippe est très atteint par la disparition de son fils. Afin de ne pas le laisser sombrer, Lucie Terrier souhaite qu'il s'attelle à une nouvelle affaire : une jeune femme a été retrouvée, tuée et violée. L'enquête va rapidement progresser. Trop rapidement peut-être, tellement Munoz n'est pas à son travail. Consciente que cette affaire a été bâclée, Lila va vouloir "fermer toutes les portes"...

Jusqu'ici tenu à distance de l'enquête de la Crime au sujet de l'enlèvement de William par un Forge vigilant, Munoz décide de s'y investir à fond, avec "ses méthodes". Il vient en effet d'être directement contacté par les ravisseurs qui lui révèlent leur véritable motivation : faire libérer deux des leurs, emprisonnés pour avoir tiré sur William. Dans le dos de Forge et Lucie, Munoz va tout préparer pour faire croire aux ravisseurs qu'il accepte leurs conditions...

Munoz et son équipe découvrent un cadavre découpé en morceaux au bord des quais de Seine. Forge demande à Munoz de mieux tenir son groupe, de plus en plus dissipé. L'enquête commence et Forge en profite pour présenter au groupe une nouvelle recrue : Juliette, monitrice de tir et de gestes techniques. Le groupe retourne sur les quais pour récupérer plus d'indices. Antoine fait des recoupements téléphoniques et découvre un lien entre la victime et une certaine Kenza Alaoui. Il se trouve que cette dernière a été retrouvée morte cinq jours plus tôt...

Antoine visionne une vidéo diffusée en live sur Internet dans laquelle trois jeunes filles cambriolent un appartement tout en se déshabillant. Munoz et Dupré se méfient de la réaction de Lucie pour le meurtre de Domino. Antoine déboule et annonce que deux des filles de la vidéo viennent d'être tuées en direct. Ils se rendent sur les lieux du crime et commencent leur enquête. Antoine est bouleversé. Forge temporise avec la hiérarchie. Fossati fait l'audition du gardien : Régis Fontan. Dupré apporte de la cocaïne au groupe de proxénètes. Vlad, le leader du groupe, est de plus en plus suspicieux à l'égard de Dupré...

Forge fait venir Rouve, l'un des policiers qui était présent lorsque son frère a été tué. Trois hommes de l'IGS sont là pour étudier le service. Forge leur envoie Beaumont. Vlad, le chef des proxénètes, vire Dupré du groupe. Forge rencontre Sophie et lui demande des informations sur la nuit ou son frère a été tué. La tension est de plus en plus palpable entre le groupe Munoz et l'IGS. Forge ne se souci que de sa «contre-enquête «. Juliette rembarre Munoz. Lafond se plaint auprès du directeur de la PJ au sujet des accusations de Forge. On comprend que c'est Lafond qui a envoyé l'IGS à la friche. Forge décide d'aller récupérer illégalement des prélèvements de sang au labo.

Munoz et Forge vont récupérer Bachir dans le bar, celui-ci est bien vivant. Ils décident de l'enfermer à la friche pour qu'il soit en sécurité. Forge fait son briefing au groupe Munoz concernant des braquages de banque à répétition. Ils forment des équipes et se mettent en position devant différentes banques. Munoz et Forge repèrent un homme et la course-poursuite s'engage dans les rues. L'homme essaye de prendre le métro et Dupré le coince. Ils l'emmènent à la friche pour l'interroger pendant que les autres font les constatations dans la banque. Une certaine Delphine leur explique qu'elle a esquivé un coup de feu de justesse.