Presque un an après la découverte du corps de la jeune femme, partiellement brûlé dans un bois de Haute-Saône le 30 octobre 2017, Jonathann Daval reste le principal suspect dans le meurtre de son épouse, Alexia.
Placé en garde à vue le 30 janvier, Jonathann Daval avait fini par avouer les faits avant de finalement se rétracter début juillet en évoquant la piste d'un « pacte secret » familial et en accusant son beau-frère Grégory Gay du meurtre.
Seulement, son hypothèse déjà peu probable semble plus que jamais fragilisée. En effet, l'ADN retrouvé sur le corps de la jeune femme de 29 ans a été identifié. On savait qu'il appartenait à Jonathann Daval, on apprend ce mercredi qu'il s'agit « d'une trace minime de sperme », détaille L'Est républicain. Une présence que l'informaticien de 35 ans explique par une relation sexuelle quelques jours avant sa mort. Il reconnaît aussi avoir déplacé le corps de son épouse assassinée dans la forêt, ce qu'il avait jusqu'ici refusé d'admettre.
Un autre indice vient mettre à mal sa défense. Une bombe aérosol, sans bouchon, avait été découverte au domicile du couple, à Gray-la-Ville. Le bouchon a été retrouvé près du corps d'Alexia Daval, « en tout point similaire à celui manquant sur la bombe », selon Le Parisien. Des éléments qui mettent à mal la défense de Jonathann Daval, qui a toujours nié avoir tenté de brûler le corps de son épouse.
____________________________________________________
Tags : Affaire Daval une trace ADN incrimine Jonathann, une trace ADN incrimine Jonathann daval, jonathann daval, alexia daval, affaire daval actualités octobre 2018, jonathann daval octobre 2018, jonathann daval 2018, affaire daval 2018, news affaire daval 2018, octobre 2018, jonathann daval reportage, jonathann daval actualité, jonathann daval affaire, jonathann daval avoue
Commenter cet article