Psycho-Criminologie

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Nombre de victimes : 4
Type de victimes :  jeunes garçons
Période :  31 mars 1962 - 6 mai 1966
Surnom : Le tueur du carnaval, le tueur de la foire
Nom : Karl-Heinz Sadrozinski  
Date de naissance : 6 novembre 1946 
Lieu de naissance : Essen (Allemagne) 
Date de décès : 28 avril 1976
A :  Hôpital De Lippstadt-Heickelborn (Allemagne)
Sexualité :  homosexuel
Mariage :  Gisela Dieke (1974-1976)
Enfants :  non
Parents : Anna Sadrozinski 
Niveau d'études : Lycée
QI : Non connu 
Diagnostic : paraphilique, personnalité dominante et égocentrique 
Type de tueur :  sexuel et sadique de type Pédophile
Type d'armes utilisées : ficelle de charcutier, mains, couteau de boucher
Modus Operandi :  Bartsch a persuadé ses victimes de l'accompagner à un abri anti-aérien. Là, il les a forcés à se déshabiller et a exécuté des actes sexuels sur eux (manipulait les parties génitales tout en se masturbant). Puis il les a tuée et a démembré les corps.
Totem : Non

 

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Jürgen Bartsch et sa mère adoptive Gertrud

Jürgen Bartsch et sa mère adoptive, Gertrud

   Les faits

    Jürgen Bartsch, né en 1946 en Allemagne, à Essen dans la Rhénanie-Westphalie est un tueur en série pédophile qui a assassiné quatre enfants, près de Velbert à Langenberg sur une période s'étendant de 1962 à 1966.
    Il a été surnommé le "tueur de foire"

jurgen-bartsch-petit
 

Jürgen Bartsch

    Jeunesse

    Jürgen naît le 6 novembre 1946 avec pour patronyme Karl-Heinz Sadrozinski. C'est un enfant de l'après-guerre et illégitime dont la mère, Anna décède de la tuberculose peu après sa naissance et dont le père est un travailleur saisonnier hollandais.
   Il passe les premiers mois de sa vie à l'hôpital puis avec Gertrud Bartsch, mariée au riche boucher d'Essen, Gerhard Bartsch.
    Gertrud est venue à l'hôpital pour y subir une hystérectomie au moment où Jürgen venait au monde. Les deux époux décident alors de recueillir dans leur foyer le jeune orphelin quand il a onze mois (enfant précoce, le futur Jürgen est déjà propre). Ils auraient bien voulu le faire avant, mais le bureau de la protection de la jeunesse a émis des réserves quant à son adoption en raison de ses "origines douteuses". L'adoption officielle n'aura lieu que sept ans plus tard, en 1954. Durant ce temps, le jeune Karl régresse et redevient sale, ce qui dégoûte Gertrud Bartsch.
    Karl-Heinz devient alors Jürgen Bartsch.

Velbert-Langeberg


   Le garçon grandit avec le couple dans la ville de Langeberg (à présent Velbert-Langeberg) et jusqu'à l'âge de six ans, Gertrud pour le protéger, le tient éloigné des autres enfants en le maintenant enfermé dans une pièce du sous-sol de la maison dont les fenêtres sont grillagées. En fait, Gertrud et Gerhard ont peur que les gens médisent sur l'enfant et leur lancent à la face qu'il n'est pas leur fils biologique. Mais les ennuis de Jürgen ne s'arrêtent pas là. Sa mère adoptive lui interdit de se salir et plus tard de jouer avec d'autres enfants afin de rester propre. Elle le frappe aussi sans raison " Lorsque ma mère poussait le rideau sur la droite et revenait comme un dragon de la boutique en balayant tout sur son passage, si je me trouvais sur son chemin, vlim, vlan, je prenais une paire de claques. Uniquement parce que j'étais sur son passage. Et quelques minutes après, j'étais de nouveau le petit garçon qu'il fallait prendre dans ses bras et embrasser. Alors elle s'étonnait que j'ai peur et me défende".
   En fait, Gertrud souffre de troubles obsessionnels et est maniaque de propreté (les connaissances de la famille noteront que le jeune garçon portait des bleus sur la peau). Son mari pensera même à divorcer devant les coups que donnent Gertrud à l'enfant "Elle bât le petit d'une telle façon que je ne peux tout simplement pas le supporter" ou "il faut que je rentre sinon elle va finir par me le tuer". 
    Ces contraintes maniaques vont persister jusqu'à l'âge adulte de Jürgen où Gertrud continuera à le laver elle-même dans la baignoire "Je me lavais moi-même les pieds et les mains, et ma mère me lavait la tête, le cou et le dos. Tout cela aurait encore pu être normal, mais elle descendait aussi sur le bas-ventre et sur le haut des cuisses, elle me lavait partout de haut en bas" .
    Quand Gerhard ouvre une seconde boucherie (afin que Jürgen ait son propre magasin le plus tôt possible), c'est Gertrud qui va s'en occuper et c'est un moyen pour Gerhard d'éloigner sa femme de son fils. Jürgen est dans un premier temps confié à sa grand-mère (il dort dans le grenier), puis à une série de nurses.

"Jurgen Bartsch à 12 ans" "psycho-criminologie.com"

Jürgen Bartsch  dans la boucherie de ses parents adoptifs


   Alors qu'il a 12 ans, les Bartsch lui font intégrer, après un petit pensionnat de 20 élèves,  le 14 octobre 1958 le pensionnat catholique des salésiens Don Boscos, de l'Abbaye de Marienhausen à Aulhausen/Rheingau qui accueille environ trois cent pensionnaires "je me souviens des coups distribués en permanence par ces hommes en soutane, que ce soit pendant les heures de classe, à la chorale où même, cela ne les gênait pas à l'église. Les punitions complètement sadiques (rester debout en pyjama, tous en rond dans la cour jusqu'à ce que le premier s'effondre " " Les contacts sexuels, les amitiés, tout cela était interdit. Qu'un élève joue trop souvent avec un camarade, c'était interdit. Ils considéraient que toute amitié en tant que telle était suspecte. Ils pensaient que si on se faisait un ami, on lui mettait forcément la main à la braguette. Derrière le moindre regard, ils soupçonnaient toujours quelque chose de sexuel. On peut inculquer pas mal de choses à un enfant à coups de bâton. Et ça reste. Et pour moi beaucoup de choses sont restées..."
    C'est aussi à ce moment qu'il va découvrir qu'il est un enfant adopté.
   Un jour, alors qu'il a de la fièvre et qu'il garde le lit, Jürgen Bratsch est agressé sexuellement par le père Gerhard Pütz, ce qui va le pousser en 1960 à fuir l'établissement à deux reprises. La première fois, ses parents le recueillent à la maison avant de le ramener de force. Lors de sa deuxième évasion, Jürgen ne rentrera pas chez eux. C'est aussi à l'Abbaye que Jürgen découvre pour la première fois qu'il est sexuellement attiré par les garçons. Il développe également son sadisme en s'exerçant sur les autres à l'extérieur du pensionnat (il fera une centaine de tentatives de meurtres non aboutis).

Jürgen Bartsch

Jürgen Bartsch

    A 15 ans, nous sommes en 1961, Jürgen Batsch se fait connaître de la police pour avoir agressé et torturé sexuellement le fils du maître peintre, Langenberg B.
   Il l'a agressé dans l'ancien abri anti-aérien du quartier Oberbonsfeld de Heeger Strasse. Jürgen passe devant le tribunal pour blessures. La procédure est cependant rapidement abandonnée, car il fait croire au juge qu'il s'agissait d'un combat et qu'il n'a fait que se défendre. A la suite de cela, il va développer des fantasmes de plus en plus sadique qu'il met progressivement en pratique. "J'aurai beaucoup aimé que l'enfant se défende, même si l'impuissance de ces enfants constituait en général un attrait pour moi. Viktor et Detlet, je ne les avais jamais embrassés. Si je dis aujourd'hui qu'il avait envie de se faire embrasser (en parlant d'un autre garçon nommé Frese). D'après moi, ça s'explique uniquement par le fait que je l'avais terriblement battu avant."

"victimes de Juergen Bartsch Ulrich-Kahlweiss" "psycho-criminologie.com"

Ulrich Kahlweiß, 12 ans

    Meurtres

    Jürgen Bartsch avait l'habitude de beaucoup se balader et utilisait fréquemment les taxis. Pour ce faire, il volait l'argent de la caisse de la boucherie et occasionnellement, il utilisait le petit camion de livraison de la boutique (la fuite d'argent de la caisse a pratiquement mis les parents sur la paille, mais personne n'a soupçonné que ce pouvait être lui). Bartsch ne voulait pas travailler comme boucher, mais comme il n'avait aucune idée de la profession qu'il voulait faire, il a accepté de rejoindre son père dans l'entreprise familiale. Jürgen Bartsch a explicitement déclaré que l'expérience de l'abattage d'animaux était très désagréable pour lui, c'est pourquoi il a principalement travaillé comme vendeur au comptoir.

   Pour entrer en contact avec les garçons, il leur dit qu'il travaillait comme détective pour une compagnie d'assurance et qu'il avait besoin d'un témoin pour récupérer une valise pleine de diamants dans un tunnel. La plupart des enfants ne croyaient pas à son histoire et Jürgen les emmenait alors boire un jus de pomme dans un pub à la sortie de la ville. Là, il leur offrait de l'argent (50 deutsches mark). Jürgen buvait lui aussi, de l'alcool, mais prenait soin de garder le contrôle pour fomenter ses agressions et meurtres à venir.
    Souvent, il fréquentait les foires paroissiales où il invitait les enfants à faire un tour de manège gratuit. Les foires paroissiales en Allemagne attiraient à l'époque les pauvres et les sans-abri, ce qui rendait difficile pour Bartsch, bien habillé, de passer inaperçu. Mais le nombre d'enfants présents augmentaient ses chances de ne pas être reconnu. Il transportait avec lui une grande valise dans laquelle il pensait transporter les enfants. Après qu'on lui ait demandé pourquoi il transportait une "Kinder-Sarg" (un cercueil pour enfants), il s'est débarrassé de ladite valise. 

   " Jusqu'à 1962, il ne s'agissait que de déshabiller, de manipuler, et ainsi de suite. Plus tard, quand il y a eu le besoin de tuer, il s'est presque tout de suite accompagné de celui de découper. D'abord, je n'avais que des lames de rasoir en tête, mais après la première fois j'ai commencé à penser aux couteaux. A nos couteaux."

rue de Wuppertal-Elberfeld, 1976


    Le 18 juin 1966, Jürgen Bartsch alors qu'il parcoure les routes de Wuppertal-Elberfeld, rencontre Peter Fuchs, 14 ans qu'il entraîne lui aussi dans l'abri anti-aérien. Là, il force le garçon à se déshabiller en lui assénant des coups de pieds, puis il le menotte et tente de le violer avant de se lever et de lui faire savoir qu'il va revenir. Jürgen Batsch quitte le bunker, devant rentrer chez lui à 19h tapantes pour manger et regarder la télévision avec ses parents. Peter Fuchs attend quelques secondes et quand il ne voit pas son bourreau revenir, il réussit à couper ses liens avec la bougie qui se trouve non loin de lui et s'échappe.
    Il a eu de la chance, car à ses autres victimes, Jürgen ne leur laissait pas la vie sauve. Après les avoir violé, il les tuait en les étranglant ou en les assommant, puis coupait les corps à l'aide d'un couteau de boucher, avant de vider les entrailles et la cage thoracique et enterrait les restes. Avec les cadavres, il utilisait diverses variantes dans la manière de les découper : il pouvait castrer sa victime, lui arracher les yeux, découper des morceaux de chair dans les cuisses et les fesses (pour les sentir ensuite) ou essayait d'avoir un rapport anal. Jürgen atteignait l'orgasme non pas en se masturbant, mais en découpant les corps. Lors de son quatrième meurtre, il atteint l'absolu jouissance en attachant sa victime à un poteau et en le découpant encore vivant.

 

Jurgen Bartsch démontre ses meurtres

Reconstitution des meurtres

   Arrestation

    Après que le garçon se soit échappé, la police s'est mise à la recherche de l'agresseur et a retrouvé, en se rendant sur place, les quatre victimes dans le bunker.
    Jürgen Bartsch, 19 ans, garçon boucher a été identifié comme auteur des crimes et arrêté par la police trois jours après, le 21 juin 1966.

Les fouilles pour retrouver les corps


    Procès

    Jürgen Bartsch a reconnu rapidement les assassinats. Le 27 novembre 1967, le premier procès s'est ouvert devant le tribunal de district de Wuppertal sous l'attention des médias et du public, tant au niveau national qu'international. Les audiences n'ont duré que quelques jours et le tribunal a considéré Bartsch comme un adulte pleinement capable. Pour cela, il a été reconnu responsable le 15 décembre 1967, a perdu tous ses droits civils et a été condamné à 5 fois la réclusion à perpétuité (125 ans) pour 4 homicides, 1 tentative d'homicide, enlèvement d'enfants et contacts sexuels avec des enfants.  La défense a été assurée par l'avocat Alfred Linten et a été poursuivie par l'avocat munichois Rolf Bossi.
    En 1969, Bossi a fait appel devant la Cour fédérale de justice, qui a par la suite infirmé le jugement de première instance. L'affaire a ensuite été renégociée devant la chambre de la jeunesse de Düsseldorf. Rolf Bossi a repris la défense. Le procès consistait uniquement à déterminer si l'accusé était responsable des actes qu'il avait avoués.

   Rolf Bossi

     Lors du deuxième procès en 1971, à nouveau devant un tribunal de district, un très grand nombre d'experts étaient présents pour éviter de nouvelles poursuites : 2 généticiens / anthropologues / biologistes légistes (à l'époque, c'était la même profession en Allemagne), 3 psychologues, 5 psychiatres et le directeur du seul Institut universitaire allemand de sexologie. Deux des 3 experts psychiatriques du premier procès ont été rejetés en tant qu'experts (à la demande de la défense; un par auto-rejet). Le témoignage de cinq experts a été jugé pertinent par le tribunal et a conduit aux conclusions suivantes :

   - au moment des délits, Bartsch n'était pas encore suffisamment mûr (délinquant "mineur");
  - sa responsabilité a été réduite parce qu'il ne pouvait pas contrôler pleinement ses pulsions sadiques.

     Cela contrastait fortement avec la décision du tribunal de district de Wuppertal, du 15 décembre 1967 : "compte tenu de la structure de la personnalité de l'accusé sur la base de l'opinion donnée par 3 témoins experts, force est de constater que l'accusé avait déjà achevé le processus de développement de sa personnalité. "

     Le 6 avril 1971, Bartsch a été condamné à une peine de dix ans et à un placement au Eickelborn Health and Nursing Home. Là, Bartsch a épousé une infirmière auxiliaire de Hanovre, Gisela, en 1974.
    En prison et à l'hôpital psychiatrique, la mère de Jürgen Bartsch et une tante étaient ses principaux contacts avec sa famille. Les deux femmes ont été autorisées à lui envoyer des romans policiers, des bandes dessinées et des tours de magie (
Avant les procès, Bartsch était membre de l'Organisation allemande des magiciens et illusionnistes (Magischer Zirkel). Étant donné que l'organisation n'aimait pas la mauvaise réputation que l'affaire des meurtres pouvait apporter, ils ne lui ont pas permis de rester membre).

"Jurgen Bartsch à son procès" "psycho-criminologie.com"

Jürgen Bartsch à son procès


    Les psychiatres ont proposé au jeune homme diverses thérapies : psychothérapie, castration et même psychochirurgie. Puisque Bartsch était toujours exposé à des fantasmes de meurtre, lui et son avocat ont demandé que soit effectuée une chirurgie cérébrale. En décembre 1974, cependant, des médecins de l'hôpital universitaire de la Sarre l'ont informé qu'une telle opération n'était pas possible. Afin d'échapper au séjour de longue durée en psychiatrie, Jürgen Bartsch a alors demandé sa castration.
 

"Jurgen Bartsch" "psycho-criminologie.com"

Jürgen Bartsch à son procès

   Décès

   Bartsch a été opéré à l'hôpital d'État d'Eickelborn. L'anesthésie a été réalisée, comme c'était souvent le cas en 1976 sans anesthésiste, uniquement sous la responsabilité du chirurgien. Deux produits chimiques ont été mélangés pendant l'anesthésie. L'halothane a été surdosé dix fois à cause de l'utilisation d'un évaporateur de méthoxyflurane inapproprié. En conséquence, Bartsch a subi un effondrement circulatoire qui a entraîné sa mort.
    Jürgen Bartsch a été enterré à Essen dans l'anonymat. Aucun nom n'est stipulé sur sa pierre tombale.

Jürgen Bartsch à la sortie de son procès


    Sémiologie du crime

     Jürgen Bartsch est resté onze mois à l'hôpital, moment crucial pour un enfant d'avoir le contact maternel. Ce qu'il ne reçut pas. L'éducation dure initiée à domicile par Gertrud et poursuivie au pensionnat a été considéré comme la cause profonde des tendances sadiques à venir de Jürgen. Son arrivée dans la famille Bartsch a été pathogène pour l'enfant qu'il était. Dans la première année de sa vie, il n'a pas eu de personne de référence, jusqu'à son entrée à l'école, il n'a pas eu le droit de jouer avec d'autres enfants et ses parents adoptifs ne jouaient pas avec lui. A l'école, il est vite devenu le souffre-douleur. Sa famille lui apprend l'obéissance à coup de bâton et ne lui permet pas de se faire une place dans la communauté des enfants. 
     En effet, une pression d'agression sans précédent s'est accumulée dans son inconscient au fil des années. N'ayant personne dans son enfance qui comprenne sa souffrance, il ne peut la vivre, et il est contraint de la réprimer et de ne rien "laisser paraître".
    En vieillissant, il est aussi dominant et insensible envers les garçons que lui-même l'avait été de la part des adultes (parents et éducateurs). La combinaison de violence et d'excitation sexuelle dont il fait l'objet auprès de ses parents, qui l'utilisent s'exprime alors sous forme de délinquance et de perversion. Selon Alice Miller, l'abri souterrain dans lequel il assassine les enfants rappelle sa propre détention dans la pièce aux fenêtres fermées par les barreaux et c'est avec les couteaux de la boucherie qu'il découpe ses victimes.
     Jürgen Bartsch était sexuellement excité par la situation profonde d'humiliation, par les menaces distillées, par la destruction de la dignité, et le manque de pouvoir et la peur que pouvait ressentir un petit garçon (cette fois non pas en tant que victime impuissante, mais en tant que puissant persécuteur). Il éprouvait une excitation particulière à plonger son regard dans les yeux apeurés de sa victime, rejouant dans la plus profonde excitation, la destruction de son moi. 

 

 

 

 

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"Jürgen Bartsch, le tueur de la foire" - "www.psycho-criminologie.com"

Victimes

    31 mars 1962 : Klaus Jung, 8 ans
    6 août 1965 : Peter Fuchs, 13 ans
    14 août 1965 : Ulrich Kahlweiß, 12 ans
    6 mai 1966 : Manfred Graßmann, 11 ans

 

 

 

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LIVRE  (en allemand)

 

Prix : 18.51€ (Broché)

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Sources :
- https://de.wikipedia.org/wiki/J%C3%BCrgen_Bartsch
- https://murderpedia.org/male.B/b/bartsch.htm
- Le film Ein Leben lang kurze Hosen tragen de 2002 (sorti aux États-Unis en 2004, sous le titre de The Child I Never Was) évoque la vie et les crimes de Bartsch.
- Alice Miller – c’est pour ton bien : l’éducation des grands criminels

 

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